Depuis plusieurs années, le kyste pilonidal, caractérisé par un nodule sous-cutané situé près du coccyx, atteint un nombre croissant de patients. Même si cette pathologie infectieuse n’est pas grave, elle est très contraignante et les personnes qui en sont atteintes sont véritablement handicapées.

La sédentarité, principale cause de la maladie pilonidale

A la maison comme au travail, nous avons tendance à être assis en permanence. Cette nouvelle réalité a mené les chirurgiens viscéraux à constater une hausse de kystes pilonidaux depuis une décennie.

Comme nous le précise ce site Kyste Pilonidal qui relate de nombreuses informations en lien avec cette maladie, ce sont souvent les jeunes hommes qui développent un kyste sacro-coccygien.

Effectivement, les étudiants sont très souvent assis et les hommes poilus ont encore plus de risques d’avoir un kyste pilonidal. Le problème est que cette boule douloureuse peut empêcher les individus de s’asseoir correctement, rendant le quotidien pénible.

Même si un coussin à décharge coccygienne peut soulager ces douleurs de compression, de nombreuses personnes choisissent de se faire opérer pour être définitivement débarassé de ce kyste mal placé.

L’opération du kyste pilonidal, une intervention qui entraîne une longue convalescence

Le principal inconvénient de l’opération du sinus pilonidal, ce n’est pas les risques qu’elle représente, mais plutôt la convalescence qu’elle entraîne. Il faut compter deux mois pour être guéri après être passé au bloc opératoire.

Très souvent, les individus opérés doivent se mettre en arrêt de travail après s’être fait retirer un kyste pilonidal. Cela permet à la plaie de cicatriser, car dans la majorité des cas, elle n’est pas suturée pour éviter une récidive.

Après cela, les patients peuvent retrouver une vie normale, même si certains reprennent le chemin de l’hôpital quelques mois après, pour la même opération, car leur kyste est réapparu…